AURIFERE
PORTAIL DOCUMENTAIRE DE L'INSTITUT SENEGALAIS DE RECHERCHES AGRICOLES
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L’Unité d’Information et de Valorisation des Résultats de la Recherche (UNIVAL)
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PV1700009 | F011-BOU | Article scientifique | LNRPV | Rayons | Exclu du prêt |
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International Journal of Biological and Chemical Science. Effet de la mycorhization et de la salinité sur la croissance, les réponses biochimiques et la productivité de Jatropha curcas L., cultivée sous serre [texte imprimé] / Elhadji Malick Leye, Auteur ; M. Diouf, Auteur ; F Ndiaye, Auteur ; B. Diallo, Auteur ; H. M. Diagne, Auteur ; T. Diop, Auteur . - Dakar (Sénégal) : ISRA/LNRPV, 2012 . - 20p. ISSN : 1991-8631 Langues : Français ( fre) Catégories : | SCIENCES ET PRODUCTIONS VEGETALES
| Mots-clés : | Pourghère, champignons, Salinité, tolérance. Productivité, Jatropha Curcas | Index. décimale : | F600-Physiologie et biochimie végétales | Résumé : | Une étude sous serre a été menée afin de déterminer les effets de différentes concentrations de salinité
sur la culture d’une provenance locale de Jatropha (Nioro) inoculée avec trois souches de champignons
mycorhiziens. Après six semaines de repiquage, les plants étaient soumis à un stress salin pendant soixante
quatorze (74) jours. Des mesures avaient été effectuées sur la croissance et la biomasse des plants et des
analyses réalisées sur l’accumulation de sodium et la teneur relative en eau des feuilles. Les résultats
montraient aussi qu’en présence de la mycorhization, Jatropha tolérait mieux la salinité jusqu’à 300 mM de
salinité et d’eau de mer diluée (50% EM). A des concentrations de 400 mM et d’eau de mer pure (100% EM),
les plants n’étaient plus dépendants de la mycorhization. Les observations montraient également que la
biomasse des plants inoculés était généralement plus élevée que les plants non inoculés et l’accumulation de
sodium qui est négativement corrélée à la teneur relative en eau des feuilles révélait que les champignons
pouvaient aider Jatropha à ajuster sa physiologie pour atténuer le stress et par conséquent améliorer sa
croissance et sa productivité. |
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PV1700008 | K112- LEY | Article scientifique | LNRPV | Rayons | Exclu du prêt |
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Journal of Applied Biosciences, Vol 35. Effets de l'inoculation mycorhizienne sur le comportement agro-physiologique des écotypes du tamarinier (Tamarindus indica L.) au Sénégal [texte imprimé] / B Salli, Auteur ; F Ndiaye, Auteur ; M. Diouf, Auteur ; Van Damme P., Auteur . - (SN) : ISRA/CERAAS, 2011 . - pp. 2260-2278. ISSN : 1997–5902 Langues : Français ( fre) Catégories : | FORESTERIE
| Mots-clés : | Tamarindus indica, Écophysiologie, Mycorhizes, Inoculation | Index. décimale : | K110-Génie forestier | Résumé : | L’intérêt accordé aux plantes fruitières « sauvages » n’est plus à démontré. En effet ces
espèces contribuent à accroître les revenus des ruraux et améliorent leur alimentation. Le tamarinier
(Tamarindus indica L.) apparaît ainsi parmi les plus importants (5ème rang en zone sahélienne d’Afrique et
le 2ème après le baobab au Sénégal), est caractérisé par une croissance assez lente.
Matériels et méthodes : Un dispositif en bloc complet randomisé a été adopté avec trois répétitions. Le
matériel végétal est constitué de 3 écotypes de tamarinier : soudanien (So), soudano-sahélien (Ss) et
sahélien (Sa) tandis que le matériel fongique est constitué de deux souches mycorhiziennes (Glomus
mosseae (Gm), Glomus aggregatum (Ga) et le témoin sans aucun traitement(T)). Les plants sont subis
deux traitements hydriques différents : ceux en conditions d’alimentation hydrique optimale (ETM) Les
résultats montrent que la croissance du tamarinier est améliorée de manière significative (P < 0,05) en
présence du champignon mycorhizien du genre Glomus et ainsi que sa capacité de résistance à la
sécheresse. |
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CR1100001 | K110- SAL | Article scientifique | CERAAS/Thiès | Rayons | Exclu du prêt |
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Journal des Sciences et Technologies. Efficacité de l’inoculum mycorhizien arbusculaire issu de différentes méthodes de conditionnement = Effectiveness of arbuscular mycorrhizal inocula from different methods of conditioning [texte imprimé] / M. F. Seck, Auteur ; F Ndiaye, Auteur ; M.A. F. Ndiaye, Auteur ; M Ndiaye, Auteur ; Elhadji Malick Leye, Auteur ; T. A. Diop, Auteur . - Dakar (Sénégal) : ISRA/LNRPV, 2008 . - 15p. : Vol. 07. Langues : Français ( fre) Catégories : | SCIENCES ET PRODUCTIONS VEGETALES
| Mots-clés : | Inoculum, Conditionnement, Acacia, Enrobage, Température, Champignon Mycorhizien | Index. décimale : | F612-Croissance et développement. Morphogénèse | Résumé : | Les champignons mycorhiziens arbusculaires vivent en symbiose avec toutes les plantes d’importance économique considérable. Ils conditionnent le développement de ces plantes même dans des situations écoclimatiques difficiles. Cependant, leur statut de biotrophes obligatoires limite les entreprises de production d’inoculum à grande échelle.
L’objectif de cette étude est d’une part de mettre au point des méthodes de préservation de différentes propagules de champignons mycorhiziens arbusculaires et d’autre part d’évaluer leur efficacité en conditions naturelles sur la croissance, la nutrition et la mycorhization d’Acacia nilotica. La viabilité des propagules n’est pas altérée par les températures testées (-20°C, 4°C, 25°C, 35°C, 45°C) et le mode de conditionnement (enrobage, ou non) après deux mois en chambre de culture. En moyenne plus de 80% des propagules sont viables après le test au colorant vital pendant 48 heures. Les paramètres de rendement (poids sec et croissance en hauteur), de nutrition (N, P, K) et de mycorhization (Fréquence) d’Acacia nilotica sont tous positivement stimulés après trois mois de culture en serre. La réactivité des propagules varie en grande partie selon l’isolat fongique, le type de conditionnement et la température de conservation. Cependant, l’enrobage des fragments mycorhiziens s’est révélé être plus efficace pour le développement des plantes d’Acacia nilotica dans nos conditions expérimentales. Les résultats sont discutés dans une perspective d’utilisation raisonnée de la technologie de l’inoculum dans les |
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PV1700011 | F612-SEC | Article scientifique | LNRPV | Rayons | Exclu du prêt |
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Original article. Tamarind (Tamarindus indica L.) parkland mycorrhizal potential within three agro-ecological zones of Senegal [texte imprimé] / S Bourou, Auteur ; F Ndiaye, Auteur ; M. Diouf, Auteur ; T. Diop, Auteur ; Van Damme P., Auteur . - (SN) : ISRA/CERAAS, 2010 . - 09p. : ref,;. Langues : Français ( fre) Catégories : | FORESTERIE
| Mots-clés : | Tamarindus Indica, Biodiversité, Zone Agro Écologique, diversité mycorhizienne | Index. décimale : | K112-Production forestière | Résumé : | Le tamarin (Tamarindus indica L.) appartient à la famille des fabacées ;
c’est un arbre à multiples usages et à croissance lente. Afin d’aider à améliorer sa croissance et son
développement, nous avons cherché à évaluer la diversité mycorhizienne associée aux parcs à tamarinier
au Sénégal. Matériel et méthodes. Trois sites de peuplement de tamariniers ont été échantillonnés
pour chaque zone agro-écologique du Sénégal : la zone sahélienne (i), la zone sahélosoudanienne
(ii) et la zone soudanienne (iii). Des échantillons de sols et de racines ont été prélevés
dans chaque site et utilisés pour isoler des spores de mycorhizes à arbuscules (MA) et évaluer niveau
de colonisation des racines. Nous avons identifié les champignons mycorhiziens à partir des spores
collectées et évalué le taux de mycorhization des racines défini comme le pourcentage de racines
colonisées dans chaque zone agro-écologique. Résultats et discussion. Les résultats n'ont pas
révélé de souches AM qui seraient spécifiquement associées aux plants de tamarinier. Trois genres
de champignons mycorhiziens arbusculaires (AMF) ont été identifiés à partir des spores collectées :
Glomus, Scutellospora et Acaulospora. Les sites de tamariniers avec sols à texture sableuse (70–90 %)
et situés en zones arides (sahel et zone soudano-sahélienne) se sont révélés riches en propagules
mycorhiziennes. Les fortes densités de propagules AM dans le sol évaluées avec la méthode du
nombre le plus probable ont été trouvées à Niokhoul (1100 propagules pour 50 g de sol), Sakal (790
propagules pour 50 g de sol) et Mbassis (780 propagules pour 50 g de sol). Toutefois, la zone agroécologique
du Sahel a montré une plus forte colonisation mycorhizienne (11 %) que celles des zones
soudano-sahélienne et sahélienne (3 %) du Sénégal. Conclusion. Notre étude a exploré la diversité
naturelle des champignons mycorhiziens arbusculaires ; c’est un point de départ pour élaborer des
inoculums aptes à être utilisés en pépinière commerciale de production de tamariniers. |
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CR1000003 | K112- BOU | Article scientifique | UNIVAL | Rayons | Exclu du prêt |
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